Un grand merci pour la mobilisation de toutes et tous pour soutenir/maintenir le caractère national du diplôme. Notre pétition qui atteint près de 1500 signatures a été remise lors du groupe de travail du CNEA
CNEA
Conseil national de l’enseignement agricole
portant sur la réforme du Tronc Commun du 6 juillet dernier à Madame CROYERE, sous directrice de la DGER
DGER
Direction Générale de l’Enseignement et de la Recherche
et envoyé à Monsieur le Ministre de l’Agriculture. Nous réaffirmons qu’il faut maintenir une épreuve terminale ponctuelle en mathématiques et en histoire géographie.
Dès la rentrée, il nous faudra nous réunir en équipe pédagogique, dans les établissements pour continuer à porter cette question de l’évaluation et émettre nos avis sur ces projets de réforme.
Bel été à toutes et tous !
L’intersyndicale, Snetap-FSU
FSU
Fédération Syndicale Unitaire
, FO
FO
Force ouvrière
-Enseignement agricole, Sea-UNSA
UNSA
Union nationale des syndicats autonomes
, CGT
CGT
Confédération générale du travail
-Agri, SUD
SUD
Solidaires unitaires démocratiques
-Rural territoires, Fep-CFDT
CFDT
Confédération française et démocratique du travail
et CGT-Enseignement privé, avait lancé au tout début des travaux sur la réforme du tronc commun du Baccalauréat professionnel une pétition exigeant le maintien des épreuves terminales pour les disciplines de l’enseignement général.
Nous avons remis cette pétition au Ministre et à la DGER à l’occasion d’une réunion du Groupe de travail CNEA.
Lancée par les organisations majoritaires de l’enseignement agricole public et privé elle aura recueilli par moins de 1446 signatures en quelques semaines.
Le nombre de signataires de cette pétition, mise en ligne, prouve d’abord la demande sans équivoque des personnels du maintien des épreuves terminales.
Il montre également l’attachement des personnels de l’enseignement agricole public et privé au diplôme du Bac Pro et de sa valeur nationale garantie par les épreuves terminales.
Il démontre enfin que la réforme engagée par la DGER doit être rediscutée et que pour cela une pause dans le processus de réforme doit être décidé.
Forts de cette pétition, nous avons donc à nouveau demandé au Ministre d’entendre les personnels et de déserrer réellement le calendrier de cette réforme.