Rassemblant des représentant·es mandaté·es par toutes ses sections métropolitaines et d’Outre Mer (Réunion,Antilles, Guyane, Polynésie), le Congrès va, pendant trois jours définir les mandats qu’ensuite les instances dirigeantes et sections de notre syndicat seront chargées de mettre en œuvre au quotidien pendant les trois années à venir.

• C’est en pleine bataille sur les retraites et aux cotés des opposant·es aux « Méga-bassines » de Sainte Soline (79), symbole d’un « modèle » agricole dont nous ne voulons pas, que se tient ce congrès. Dans ces deux batailles, le SNETAP-FSU FSU Fédération Syndicale Unitaire tient toute sa place, avec sa fédération, la FSU – prise de parole prévue le mercredi 5 avril de Benoît TESTE, après sa rencontre avec la Première Ministre –, de ses partenaires comme la Confédération Paysanne – présente à Dax pour défendre le projet de Sécurité Sociale de l’Alimentation et sa vision internationaliste de l’agriculture.

• Le SNETAP-FSU assume pleinement ici sa conception d’un syndicalisme de LUTTE et de TRANSFORMATION SOCIALE, « ni factieux, ni factions » – n’en déplaise au Président – et ses choix, ceux de la défense des salarié·es comme des syndiqué.es victimes de répressions, et de la société contre les intérêts privés !

• Ce congrès se tient également en pleine concertation pour l’élaboration de la future Loi d’Orientation Agricole. Celle-ci doit – en théorie – répondre aux défis du renouvellement des générations d’agriculteur·rices (plus de 50% en retraite sous 8 à 10 ans) et de la nécessaire transition agroécologique – le SNETAP-FSU préférant parler de « bifurcation agroécologique », enjeux majeurs d’une véritable politique publique engagée dans les suites concrètes à donner à la COP 26.